Un tome sous le signe de la manipulation. L’expression « l’habit ne fait pas le moine » prend tout son sens dans ce cinquième tome.
Nina prend vraiment du « poil de la bête ». Son évolution est incroyable et le tout reste cohérent. En l’espace de 5 volumes, de la fille enjouée et innocente, elle apparaît maintenant comme une tigresse, prête à tout pour atteindre son objectif.
Runge quant à lui continue son enquête et ses coups de manipulation habilement montés malgré un manque évident d’humanisme.
Urasawa prend vraiment le temps de développer chacun de ses personnages. Peu importe qu’ils soient principaux, secondaires ou tertiaires, tous les protagonistes de Monster ont droit à un passé et une psychologie individuels finement ficelés. Mon dieu que c’est bon !!
Nina prend vraiment du « poil de la bête ». Son évolution est incroyable et le tout reste cohérent. En l’espace de 5 volumes, de la fille enjouée et innocente, elle apparaît maintenant comme une tigresse, prête à tout pour atteindre son objectif.
Runge quant à lui continue son enquête et ses coups de manipulation habilement montés malgré un manque évident d’humanisme.
Urasawa prend vraiment le temps de développer chacun de ses personnages. Peu importe qu’ils soient principaux, secondaires ou tertiaires, tous les protagonistes de Monster ont droit à un passé et une psychologie individuels finement ficelés. Mon dieu que c’est bon !!
En bref
9
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