A la découverte du nouveau monde

La fin du premier tome a ouvert le monde s’offrant à Tôka. Une plus grande aventure l’attend.

Dans ce deuxième tome, Tôka se lie d’amitié avec un slime, rejeté par ses pairs. Il répond au nom de Pigimaru. Celui-ci présent le danger et peut en avertir Tôka.

Il a lu le livre légué par le grand sage Anglin et a appris des choses sur la déesse. Cependant, un passage n’est pas traduit car la déesse en empêche sa traduction. Il est donc persuadé qu’elle cache quelque chose qui pourrait l’affaiblir.

Ses compétences, en montant de niveau, se sont développées : elles se sont agrémentées d’un mode non létal (ainsi les ennemis en souffrent mais ne meurent pas) et d’une dissipation volontaire (Tôka peut y mettre fin à tout moment).

Il fait également la connaissance d’une fugitive, poursuivie par un groupe de mercenaires.

Ils se font facilement confiance car ne décèlent pas d’animosité l’un envers l’autre. Celle-ci lui propose son aide pour déchiffrer le passage du livre. Elle ne sait pas lire l’écriture ancienne mais elle connait quelqu’un susceptible de les aider : la sorcière des tabous.

Ils se retrouvent dans une ville. Tôka en apprend beaucoup sur la situation et fait connaissance avec ce nouveau monde.

Afin de rendre le slime plus fort, il participe à l’exploration des mines de Mills. L’objectif est de trouver le trésor secret : la coupe draconique et ainsi empocher 300 pièces d’or. Un nouveau palier a été découvert et il faut en vide tous les monstres. Pour en rester au parallèle avec les jeux vidéo et plus précisément les RPG, cela ressemble à un donjon.

Les dessins sont toujours aussi plaisants et précis.