Les critiques de Sans même nous dire au revoir

Sans même nous dire au revoir

Sans même nous dire au revoir

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Il est fait ici critique de l’édition française, chez KANA, collection MADE IN Du 8 décembre 2016, revue et corrigée le 21 avril 2018 Kentarô Ueno nous livre le récit intime de la disparition de son épouse. Sous forme d’un journal intime, il nous raconte les étapes clés de son deuil pour se reconstruire dans une vie où tout est bouleversé. La scène d’entretien de l’auteur avec son éditeur...

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Sans même nous dire au revoir Staff

9

Avis personnel : Dans un genre complètement différent de "Duds Hunt", oui j'avais envie de faire des opposés ce soir. Aspect : Un format (21*15), la couverture est sobre et ressemble à une photo avec des gouttes par dessus (larmes de l'auteur surement). Aucun résumé de l'histoire du tome au dos, c'est la couverture qui se termine au dos. Une mo...

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Sans même nous dire au revoir

Sans même nous dire au revoir

9

Á l'image de sa couverture grise, montrant le dessin d'un quartier japonais trempé de larmes (sans doute celles du mangaka), Sans même nous dire au revoir plonge le lecteur dans une histoire triste, froide et mélancolique. C'est un récit autobiographique, une histoire dure, douloureuse, réalisée comme une sorte d’exutoire. Une façon de tourner la page, de laisser partir l'être aimé qui n'est dé...

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Sans même nous dire au revoir Staff

6

Voilà un manga singulier puisque l'auteur, Kentarô UENO, se livre à ses lecteurs en racontant le décès de sa femme et la manière dont il a géré l'évènement. Ce one-shot émouvant est le récit d'un homme qui se met à nu et nous fait rentrer dans son intimité en allant dans le détail et sans nous épargner. Avec des dessins plus ou moins adroits, on a l'impression que l'auteur veut nous transmettr...

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