Les critiques de Les grands peintres

L'album est centré sur l'œuvre la plus connue de Théodore Géricault : "Le radeau de la Méduse". Il débute par le récit du naufrage du vaisseau "La Méduse" et du désastre humain qui a suivi. Puis le récit part dans une histoire d'espionnage destinée à discréditer Géricault pour éviter que le tableau qu'il veut faire sur le naufrage n'éclabousse le régime en place. Mais il n'est peut-être pas besoin...

Lire la critique de Les grands peintres T.15

L'album commence par la rencontre de Pierre-Auguste Renoir avec Erik Satie au Chat Noir. C'est le marchand d'art Paul Durand-Ruel qui les présente l'un à l'autre. La fiancée d'Erik Satie n'est autre que Suzanne Valadon qui fût un des modèles préférés du peintre 10 ans auparavant. Cette évocation entraine le peintre à évoquer 2 de ses grandes toiles : "la danse à la ville" et "la danse à la campagn...

Lire la critique de Les grands peintres T.14

Encore une fois, la rencontre entre Van Gogh et Gauguin à Arles a été choisie comme base de scénario… Mais côté Gauguin cette fois-ci. Cela ne pouvait pas bien se passer puisque, dès le départ, Gauguin était persuadé qu'il faisait une erreur en allant à Arles. Le scénario de Patrick Weber est plutôt classique et reflète bien ce que nous pouvons imaginer des réflexions de Gauguin. Les dessins d...

Lire la critique de Les grands peintres T.13

Egon Schiele le scandaleux, le torturé… Dimitri Joannidès a choisi de le présenter pendant son procès pour outrages aux bonnes mœurs et détournement de mineure en 1912. Nicolas Sure a illustré cet album en choisissant des couleurs sombres. Il a choisi une représentation fidèle de tous les personnages célèbres qui passent dans le scénario : Zweig, Klimt, Freud… Trop fidèle selon moi. Je trouve ...

Lire la critique de Les grands peintres T.12

Fin du XIXe siècle, Claude Monet est déjà installé à Giverny, mais le bassin des nymphéas n'existe pas encore. Mais bientôt, il va faire détourner l'Epte pour le créer. Le scénario suit Monet sans s'attacher totalement à lui puisque l'héroïne est une petite fille, puis femme, du village : Émilie. Tous les personnages sont attachants, vibrants, vivants quoi! Franck Secka décrit si bien ces vies...

Lire la critique de Les grands peintres T.11

Ma 1e déception de cette série foisonnante et intéressante. Ce n’est pas le scénario qui m’a gênée. Considérer Vincent Van Gogh comme un simulateur et en faire l’amant de sa belle-sœur ne m’a pas plus perturbée que cela… Le peintre est une espèce d’icône du peintre maudit et, comme toutes les icônes, on peut le remettre en question. En revanche, je n’ai pas du tout accroché au style graphique de...

Lire la critique de Les grands peintres T.10

Une grande enquête pour découvrir qui est le modèle qui a posé pour le tableau « L’origine du monde »… avant qu’un assassin ne la trouve pour la punir au nom des bonnes mœurs ! Fabien Lacaf nous promène dans le Paris de l’époque en nous faisant croiser quelques célébrités autour de Courbet et en évoquant les œuvres de quelques autres peintres. Il nous tient en haleine à la suite de 2 inspecteur...

Lire la critique de Les grands peintres T.9

Bosch étant un de mes peintres flamands préférés pour la démesure de ses tableaux et la folie qui en sort, je ne pouvais pas manquer ce tome. Griffo est un héritier de ces grands peintres flamands avec un monde souvent sombre et torturé (Monsieur Noir, La pension du Docteur Eon, S.O.S. Bonheur…). Jérôme Bosch ne pouvait que l’intéresser sur un mode alterné entre Gand en 2016 et Bois-le-Duc ou A...

Lire la critique de Les grands peintres T.8

Vinci est en France, au Clos Lucé, et refuse d’abord de raconter l’histoire de La Joconde à François 1e. Mais il lui donnera une version (parmi d’autres) pour sauver la vie d’un jeune apprenti français. Il y a beaucoup de légendes et de fantasmes autour du personnage singulier qu’était Léonard de Vinci… Pour ne pas trancher, les auteurs nous offrent 3 versions expliquant La Joconde : autoportra...

Lire la critique de Les grands peintres T.7

François Dimberton nous raconte une partie de la vie de Jacques-Louis David où son engagement politique avait pris le dessus sur la peinture : la Révolution française et, en particulier, la chute de Robespierre. On y voit le peintre passer de prison à la gentilhommière de son beau-frère au moins deux fois. Sa chance a été la lassitude des députés à mettre à mort tout opposant sinon il n’aurait ja...

Lire la critique de Les grands peintres T.6

Pour moi qui aime tant les tableaux de Georges de La Tour, quelle tristesse de découvrir un petit bourgeois pris au piège d’une guerre. Avec un tel personnage qui fut oublié pendant 2 siècles, le scénariste peut s’amuser comme il veut à inventer des détails d’une vie inconnue. Li-An ne s’en prive pas. Ses origines lorraines ont peut-être contribué à lui donner envie de jouer avec « son » Georges ...

Lire la critique de Les grands peintres T.4

Ce nouveau tome de la série « les grands peintres » se démarque complètement des autres tomes déjà parus par un point essentiel : Bruegel n’apparait que sur 2 ou 3 cases dans l’album. François Corteggiani a écrit un scénario intelligent et prenant… Quand on a ouvert l’album, on ne le ferme qu’après avoir fini la lecture ! Si le coeur de l’intrigue concerne bien un tableau de Bruegel : les mendi...

Lire la critique de Les grands peintres T.5

Glénat tente un pari ambitieux : nous faire découvrir de grands peintres au travers d’albums les mettant en scène dans des aventures plus ou moins réalistes autour d’une de leurs œuvres. Comme toutes les séries composées d’albums indépendants à la fois par les sujets et par les équipes les réalisant, le risque est d’avoir des albums de qualités très différentes. Le lecteur adhérera plus ou moin...

Lire la critique de Les grands peintres

Toulouse-Lautrec : encore un personnage hors normes par son physique, sa vie de bohême (de luxe), ses choix de tableaux. Olivier Bleys a choisi de le placer au milieu d’une intrigue policière avec enlèvement de jeunes femmes au Moulin Rouge. Il est entouré d’une bande de noceurs dont fait partie une autre célébrité de l’époque : Oscar Wilde. Le prétexte est ici la réalisation des décors de la b...

Lire la critique de Les grands peintres T.3

Jan Van Eyck méritait bien sa place dans cette série puisqu’il est considéré comme l’un des premiers grands portraitistes et l’un des peintres ayant affiné la technique de la peinture à l’huile. Pour lui, le tableau prétexte est « le retable de l’Agneau Mystique » commencé par son frère Hubert. Mais les auteurs ont préféré nous offrir une histoire un peu rocambolesque autour d’une mission secr...

Lire la critique de Les grands peintres T.2

Goya, personnage hors normes tant par son caractère (si on en croit sa biographie) que par les œuvres qu’il nous a laissé, ne pouvait pas laisser indifférent les créateurs participant à la série. Olivier Bleys en fait une sorte de monstre odieux qui tyrannise tous ceux l’entourent depuis sa compagne Léocadia et sa fille Rosario jusqu’au moindre paysan des alentours. C’est une vision sans doute ...

Lire la critique de Les grands peintres T.1