Les critiques de Pigalle, 1950
Pigalle, 1950 Staff
10La page de couverture donne le ton de ce superbe one-shot, entre sacré-cœur et monde souterrain, entre anges et démons. Au travers d’un dessin sépia, le lecteur est plongé dans le Paris des années cinquante, et n’en sort plus durant 130 planches splendides. C’est comme si l’on se retrouvait dans un vieux film en noir et blanc, qui n’aurait pas subi les assauts du temps. Chaque case est précise, et...