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Critique de The Qwaser of Stigmata

par Vana le lun. 25 mai 1970

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Malgré un début très confus au niveau du scénario, je dois dire que ce manga m'a agréablement surpris par la suite. L'histoire se passe dans le Japon de notre époque dans une école privé Orthodoxe qui abrite une chapelle qui renferme une très vielle relique . Mafuyu et Tomo deux jeunes filles de cette école et amies sont traitées comme des esclaves par les élèves de leur classe. Arrive Alexander un jeune Russe appelé le Qwaser d'Acier venu combattre le Qwaser de Mercure qui sévit dans la région à la recherche de la fameuse relique. Un Qwaser est une personne capable de manipuler un des éléments fondamentaux. Bref ils ont de quoi se mettre sur la gueule et les combat semblent pas trop mal mais j'attends avec impatience un adversaire à la hauteur d'Alexander, parce que l'autre il se fait quand même massacrer. Alors qu'on le croit bourré de principe et sans cœur surtout à l'égard de nos deux héroïnes, on s'apercevra au fil du tome qu'Alexander n'est en fait qu'un sale môme de 13 ans, et qu'il n'est pas si fort mentalement. Ce sera bien évidement prétexte à de bon fou rire. Au niveau du dessin rien à redire, c'est beau, même très beau. Asuka nous livre une édition propre. On regrettera cependant qu'ils n'aient pas gardé la couverture d'origine, problème qui semble résolu avec le tome 2. Avis sur le tome 3: Encore plus de personnages font leur apparition, je trouve ça dommage, l'auteur aurait pu approfondir ceux déja existant, surtout que pour la plupart des nouveau apôtres ils se font éclater en l'espace de quelques seconde. L'arrivée du pere de Lizzy dans l'école va sans doute animé le prochain volume.

En bref

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