Et si Batman était le méchant?
Et si le Joker était le héro?
C'est ce qu'on nous propose dans cet ouvrage.
Batman dépasse les bornes. Violent et plein de haine, il poursuit le Joker dans tout Gotham détruisant tout sur sa route.
Après son passage à tabac, le Joker se réveil "guérit". Jack Napier fait surface et est bien décidé à aider Gotham en faisant payer le chevalier noir pour tout les dégâts qu'il provoque.
Des dessins sombres, un scénario inédit. Malgré la gravité de la situation, un vent de fraicheur souffle sur les aventures du chevalier noir et on dévore ce tome sans avoir la moindre envie de détacher les yeux des pages qui défilent parfois bien trop vite.
Situé après la disparition de Jason Todd mais avant l'arrivé de Red Hood, le White knight s'adresse avant tout aux connaisseurs. En effet je ne conseil à personne de commencer sa relation avec Bruce Wayne par ce tome. On entre dans le vif du sujet dés la première page et on est sensé connaitre la complexité de la relation entre Batman et le Joker. Les néophytes risquent de ne pas accrocher du tout et de ne pas saisir toues les références omniprésentes qui défilent pages après pages.
Un ouvrage qui mérite une saga, une œuvre qui mérite autant de considération et de renom que "la cours des hiboux".
Heureusement Sean Murphy nous réserve une suite cette année. "Batman : curse of the white knight" n'arrivera jamais assez tôt.
En bref
10
padawahnico
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