On l’appellerait mon oncle
Dans un style graphique inspiré du manga, l’auteur fait souffler un vent de folie et de jeunesse sur cette série, qui, dans sa version écrite, n’en manquait pas, il est vrai.
Les scènes s’enchaînent et se déchaînent, les personnages typés sont fidèles à ceux de notre imaginaire, granguignolesque et attachant. Ca jacte, tartine, fornique, en étalant en égale moitié humour caustique et grands principes ; Ca explose de vie aux couleurs pastels, dans un remu-méninges iconoclaste.
C’est beau comme du Verlaine revisité par Choron.
En bref
Une version BD tonitruante en droite ligne de la série des romans éponymes, dans l’illustration et le rythme endiablé du récit.
6
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