Conclusion de l'arc

Sword Art Online Progressive – Arc 2 : Transient Barcarole est un arc en deux tomes, qui retracent une partie des aventures de Kirito et Asuna. Il est assez difficile de faire un bon arc en deux tomes sans que cela soit bâclé. C'était ma crainte après lecture du premier tome et je dois avouer, qu'au final, c'est plutôt réussi.

A la fin du tome 1, Kirito et Asuna avaient lancé une quête PNJ pour obtenir un bateau capable de les faire avancer dans leur niveau et prendre l'ascendant sur les autres aventuriers. C'est donc après avoir obtenu leur jolie barque qu'ils décident de suivre un bateau marchand pour en apprendre un petit peu plus... Et ils tombent sur une découverte étrange : des elfes déchus qui s'allient aux humains pour une commande dont ils ignorent le contenu.

Comme dans le tome précédent, celui-ci est bourré d'humour et de taquineries entre les deux amoureux -bien qu'ils ne l'admettent encore qu'en partie-. Ce côté rafraîchissant de l’œuvre rend le tout bien plus fluide à la lecture. On a droit à de nombreuses scènes d'action mais l'évolution des liens entre les personnages n'en est pour autant pas mise de côté.

Une grande partie du tome va donc se concentrer sur les mystères qui rôdent autour de cette fameuse transaction secrète. Petit à petit, nous allons en découvrir plus et comprendre pourquoi celle-ci est plus dangereuse que ce qu'on pourrait penser au premier abord. Notamment lorsque Kirito et Asuna recroisent Kizmel au château des elfes noirs. Ils passent du bon temps, mangent un bon repas de Noël et profitent même des bains extérieurs.

Le véritable but de cet arc est d'avancer d'un étage, et vaincre un groupe d'elfes déchus venus détruire le château des elfes noirs. C'est d'ailleurs cet événement qui nous offre un combat intensif, qui fut malgré tout très rapide. On en voit rapidement l'issue, sans qu'un véritable suspense ait pu se mettre en place.

Dans l'ensemble, cet arc était sympathique avec une bonne touche d'humour. Cependant, il ne se démarque en rien et n'apporte pas grand chose à l’œuvre originale...