Transfiguration
C’est une fin de cycle de bruit et de fulgurance que ce tome quatre. On y retrouve Tancrède, fait prisonnier pour sauver les deux femmes qui l’accompagnent, aux prises avec son ancien compagnon d’arme, qui l’a trahi, Guillaume de Hauteville.
Retenu dans une place forte assaillie par les byzantins, Guillaume essaie de faire ressurgir en lui l’ancien soldat sanguinaire, Robert le magnifique. La fin, en happy end, clôt de manière douce un tome tout de combats et de sang.
Le dessin est à l’avenant, entre traits durs de ces hommes forgés dans le feu des batailles et une mise en page qui se joue des cadres et des cases pour exploser dans un feu d’artifice d’éclats sanglants. Les couleurs elles-mêmes originales, explosent et imposent leurs propres codes étonnants.
Entre Dieu et diables, une série qui fuit les demi-teintes pour surprendre le lecteur.
En bref
L’épopée épique de soldats sans terre, qui vivent ou survivent dans le sang et le fracas des combats.
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