L'heure de rendre des comptes
Résumé des tomes précédents : Perdu dans les ténèbres les plus noires, le prince Daida appelle à l'aide... et sa mère finit par l'entendre ! Tandis que la reine Hiling tente de trouver une solution pour sauver son fils, il rencontre Miranjo, une jeune fille au visage masqué, et promet de la tirer de leur étrange prison. Pendant ce temps, alors qu'ils font route pour rentrer chez eux, Bojji et Ombre sont rattrapés par les chevaliers de Desha. Le royaume de Bosse court un grand danger : en effet, trois criminels jusqu'ici bien gardés dans les geôles des Enfers se sont échappés.
Après un tome précédent plutôt calme niveau action mais riche de nombreuses révélations. Ce tome 6 rentre dans le dur, l’heure des combats est arrivée. Les criminels échappés des enfers sèment le chaos dans le royaume. Encore une fois, l’histoire est très prenante, Sosuke Toka réussit encore une fois à enrichir son histoire d’un lore qui ne cesse de nous étonner. Le dessin n’est vraiment pas représentatif de la richesse de cette œuvre. Même si il faut le dire, on s’habitue quand même à ce trait plutôt enfantin et j’aime bien à chaque fois me replonger dans cette œuvre totalement addictive.
Chaque personnage place ses pions, les objectifs de Miranjo son clair maintenant, on retrouve la force et le courage d’Hiling, un Dorshe qui montre toute sa puissance et son sens de l’honneur hors du commun, Domas et Hokuro encore trop dans l’ombre, un Daida complètement absent et toujours cette frustration depuis deux tomes de n’apercevoir Bojji que quelques pages voire quelques cases. On se console comme un peu avec un chapitre bonus assez sympa, bien écrit, qui donne tout de suite le sourire. Le sourire communicatif de Bojji fuir de lui, vivement qu’il retourne au centre de l’action, vraiment.
En bref
Un tome 6 dans la lignée des précédents, l'auteur développe encore un peu plus ses personnages et son univers. On se laisse porter.
Positif
Des personnages qui ne cessent de se développer
Un univers qui s'enrichie encore plus
Vivement l'heure de Bojji
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