Les lycéens se rebellent

Dans ce troisième tome écrit par Holico et dessiné par Jun Nishikawa, édité par soleil manga, nous continuons un peu plus d’en apprendre sur cet univers « pirate ».

Nous retrouvons Tento aux prises avec Kumogaï du club de sumo. Ce dernier a absorbé les autres personnes qu’il a rencontré et notamment Kamna et Shota. Il s’agit du vampirate ultime, le boss final. A ce stade, les auterus ont tendances à créer des événements pires que les fois précédentes mais il ne s’agit nullement d’un boss final car nous en sommes au tome 3 de l’histoire et il reste encore un tome à découvrir !

Je passe sur les différents détails de l’histoire par rapport à ce combat, mais Tento en réchappe.

Par la suite, la mission « survivre sur l’île aride » prend fin. Ainsi, l’eau revient et la bande veut s’attaquer à Léo Okinaga.

Taneda, son bras droit, prend sa défense en invoquant le droit aux pourparlers, qui est une tradition pirate. Il s’agit en réalité d’une concertation non violente, unanime et incontestable à laquelle participent tous les chefs d’équipage. Ces pourparlers sont présidés par GoldRich. Ainsi, le loup hurleur, la destructrice, le seitokai, les premières années et les déchets doivent statuer sur le fait de prendre Léo ou le vendre.

Là encore, une nouvelle tradition est apportée par un personnage sans qu’il y soit mis au courant à un quelconque moment et de nouveaux équipages font leur apparition !

Ce passage est aussi le lieu d’un « gros » retournement de situation et se termine par l’apparition d’une pieuvre géante folle de rage.

Je suis assez perplexe vis-à-vis de ce tome. Les précédents n’étaient pas folichons mais les différents passages avaient un certain sens. Ici, les auteurs nous donnent l’impression de vouloir aller un peu trop vite dans cette histoire. Ils ont tendance à créer des événements sortis du chapeau et parfois pour un court instant, à savoir le temps d’un chapitre.

Les dessins sont toujours aussi classiques d’un shonen.

On est en présence d’un manga qui reste réservé à un public averti car nous avons toujours des passages assez gores.

Les auteurs sont friands des personnages féminins avec de fortes poitrines et trouvent n’importe quelle situation ou n’importe quel angle pour montrer des soutien-gorge ou des culottes.