Passé trouble
Jean Nomane, l’actuel rectificateur, a perdu une deuxième fois son père, ancien rectificateur lui aussi, dans le tome précédent. Il reste caché dans un village reculé des Alpes, tanière de son père, en attendant que le triumvirat se reconstruise et qu’il puisse repartir en mission pour eux. En fouillant dans les affaires de son père, il découvre, dans la cave de la maison, une pièce secrète. Sur le mur (voir la couverture du tome) se déploie un réseau d’interconnexions entre industrie militaire et politique, jusqu’au plus haut niveau de l’état américain. Comme pour faire son deuil, Jean décide de poursuivre la quête et l’enquête de son défunt père et de la mener à son terme.
La fin en happy end est un peu trop simple et téléphonée à mon goût. Dans le monde réel, où les puissants peuvent œuvrer en sous-main, utilisant tous les moyens pour arriver à leurs fins, il semble peu probable que d’anciennes histoires gardées secrètes durant vingt cinq ans se dénouent en un instant sur un plateau d’émission TV. Le dessin a toujours lui aussi, quelques imperfections de mon point de vue.
En bref
Le rectificateur décide de résoudre une vieille affaire qui semblait hanter son père défunt et doit faire face à de sombres puissances économiques et politiques américaines. Une fin un peu téléphonée
Positif
Le pitch de la série
Negatif
Une fin un peu téléphonée
quelques imperfections de dessin
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