Critique de Doomsday War - Rekkyō Sensen #1
par juju le mar. 1 juil. 2025 Staff
Un tournoi pour la survie de l’humanité
Aujourd’hui, on plonge dans un tournoi survivaliste ultra-épique avec Doomsday War - Rekkyō Sensen, tome 1, le nouveau seinen des éditions Doki-Doki. Si vous kiffez Valkyrie Apocalypse ou les récits dystopiques où tout peut basculer, accrochez-vous, car ce manga envoie du lourd ! J’ai vraiment aimé cette entrée en matière façon Valkyrie Apocalypse, et voici pourquoi !
L’histoire : un tournoi pour la survie de l’humanité
An 2206. La Terre est au bord du gouffre : catastrophes climatiques, surpopulation, extinction animale, et une IA omnipotente nommée Gaïa qui prédit la fin de l’humanité dans 100 ans. Pour éviter l’extinction, les 16 nations survivantes concluent un pacte aussi cruel que désespéré : un tournoi mondial, le “Nation-Toppling Battle”, où chaque pays envoie un champion surhumain. Une seule nation survivra, les autres… disparaîtront. Dans ce chaos, les combattants, dotés de pouvoirs surnaturels liés à des phénomènes climatiques (brume, chaleur, végétation), se lancent dans une bataille où l’honneur et la survie se jouent à chaque coup.
Mon avis : une claque visuelle et narrative !
J’ai beaucoup aimé ce tome 1 ! Doomsday War pose les bases d’un survival dystopique avec une vibe qui rappelle Valkyrie Apocalypse : un tournoi à enjeux colossaux, des combattants charismatiques et des combats qui promettent d’être explosifs. Ce premier tome avec ses thèmes d’actualité font froid dans le dos, entre surpopulation, pollution et IA toute-puissante, l’univers dépeint par Natsuko Uruma tape fort avec des thématiques actuelles et anxiogènes, mais c’est aussi ce qui rend l’intrigue si captivante.
Les personnages, bien que présentés rapidement, dégagent un potentiel énorme. Chaque champion semble cacher un passé complexe et des pouvoirs uniques, et j’ai hâte de découvrir leurs histoires et leurs capacités (mention spéciale pour les designs liés aux éléments climatiques, super originaux !). Chaque champion a un pouvoir en lien avec son pays, dans ce premier tome le britannique utilise le fameux smog anglais et le Japonais, les cerisiers. En plus c’est assez précis et développé, j’ai beaucoup aimé le délire autour des cellules de Thésée. Les planches de Natsuko Uruma sont un régal : dynamiques, expressives et pleines d’énergie, elles donnent vie à cet univers post-apocalyptique avec une intensité folle. Les couleurs et le style graphique renforcent l’ambiance dramatique, et les premières scènes de combat laissent présager du très lourd pour la suite.
Seul petit bémol ? Le rythme est parfois un poil rapide, et on aimerait en savoir plus sur certains personnages dès ce tome 1. Mais pour une introduction, c’est une vraie réussite qui donne envie de se jeter sur le tome 2 (4 tomes sont déjà sortis au Japon). Bonus : la jaquette alternative réversible du premier tirage est un petit bijou pour les collectionneurs !
Pourquoi lire Doomsday War ?
Si vous êtes fans de tournois épiques comme dans Valkyrie Apocalypse ou Baki, ou si vous kiffez les seinen sombres et percutants comme Gantz ou Ajin, ce manga est pour vous. Il mélange action brutale, drame humain et réflexions sur un monde à la dérive, c’est bouleversant, entre scènes de combats intenses et rebondissements ». Ce tome 1 est une entrée en matière haletante qui pose des bases solides pour une série à suivre de près !
En bref
Doomsday War démarre en trombe avec un concept accrocheur, des visuels qui claquent et une tension palpable. J’ai adoré cette entrée en matière façon Valkyrie Apocalypse, le mystère autour des champions, les nations et les cellules de Thésée me rend impatient pour la suite. Un seinen à ne pas rater pour les amateurs d’action et de dystopie !
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Commentaires (1)
WilliamCali1
MembreThis story sounds incredibly intense and gripping! The high-stakes tournament and the focus on environmental collapse really reminded me of how competitive some games can get, even though the context is much darker here. I remember feeling a similar adrenaline rush when playing Geometry Dash—it’s nowhere near as serious, of course, but the idea of overcoming impossible odds really spoke to me. I can’t wait to read more of Doomsday War!