Critique de Les reines de sang - Agrippine #1
par vedge le ven. 4 juil. 2025 Staff
Le bonheur est à qui se suffit à elle-même
Dès son plus jeune âge, Agrippine est malgré elle au cœur des complots politiques de Rome. Entre les descendants de la gens Julia et ceux de la gens Claudia, une guerre qui ne dit pas son nom, par empoisonnement et lobbying politique fait rage. L’enjeu est de mettre l’un de ses descendants sur le trône impérial. Le père d’Agrippine est mort par empoisonnement lorsqu’elle avait 5 ans ; Elle poursuit son éducation, avec le concours de Sénèque, un peu solitaire, au milieu de ses frères, dont l’un déjà bien dérangé. Sénèque cite les philosophes grecs et l’incite à se suffire à elle-même. Passant au travers des décès et complots divers, des risques afférents à un mariage forcé, elle étudie l’histoire et les lois romaines pour se frayer un chemin par sa propre volonté ; Son objectif est de perpétué la lignée de demi-dieux dont elle est issue.
Concernant le dessin, je trouve qu’il y a certains partis-pris que l’on pourrait qualifier d’imperfections ; Les hachures surnuméraires nuisent à la lisibilité et la clarté des scènes et des personnages. Un espère de flou envahit certaines cases, mettant à distance la scène et éloignant le lecteur du récit.
Récit d’enfance et de passage à l’âge adulte d’un personnage marquant de l’histoire de Rome, dont on découvre la part de tragique et d’inéluctable destin.
En bref
Récit d’enfance et de passage à l’âge adulte d’un personnage marquant de l’histoire de Rome, dont on découvre la part de tragique et d’inéluctable destin.
Positif
Une histoire entre tragédie et mhytologie
Negatif
des illustrations perfectibles
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