Ajin raconte l'histoire de Nagai Kei, un ado qui réalise être un Ajin en ressuscitant après un accident mortel. Considérés comme n'étant pas humains et très rares, ces derniers sont recherchés par les autorités pour être étudier. Démarre alors pour Kei une traque où il va lui falloir trouver qui sont ses alliés et qui sont ses ennemis. Je n'ai pas lu le manga dont il s'agit de l'adaptation (du moins pas encore), donc je ne peux parler critiquer la qualité de l'adaptation, mais déjà ici l'histoire est très vite prenante. On découvre peu à peu les force en présence qui s'intéresse à Kei en nous révélant au goutte à goutte leurs but et motivations. On découvre aussi peu à peu les spécificité des Ajin, leurs pouvoirs et l'espèce de fantôme qui les accompagne. Ce qui rend l'anime accrocheur à mon sens c'est la BO. L'opening est bien rythmé, a du punch, et l'ending a un ressenti plus mélancolique qui rappelle que le héros meurt assez souvent à cause de l'histoire qu'il subit, enfin la musique qui accompagne la préview du prochain épisode (ou le résumé des épisode précédent) est génial : elle donne aux images un poids dramatique et crucial telle que l'on voudrait se mater l'épisode suivant immédiatement. Maintenant venons au point qui fâche : le style graphique. Le studio en charge de l'anime est le studio Polygon Pictures, qui fait dans le rendu 3D. Si cette espèce de 3D en cel-shading est efficace pour les fantômes noir , pour les humains cela ne plaira pas à tout le monde. Personnellement il m'a fallut 2 épisodes avant m'y faire. Au final si vous cherchez un anime passionnant, ruez-vous sur Ajin, en ne vous laissant pas rebuter par son style graphique particulier.