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Critique de Capitaine Albator : Dimension voyage

par Wynn le dim. 12 juin 2016

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Histoire : Donc Capitaine Albator : Dimension voyage reprend la trame d’Albator 78. Par conséquent nous sommes présence d’une terre quasiment morte car ses habitants ne sont plus que des larves noyées dans les distractions faciles et les plus courageux sont partis à la conquête de l’espace. Le ministre est incompétent sui réfère jouer au golf plutôt que de voir les vrais problèmes. D’ailleurs en parlant de problème, une sphère noire avec des inscriptions hiéroglyphiques faisant penser à l’écriture des civilisations précolombiennes s’est écrasé sur terre et personne ne s’en préoccupe. Enfin personne, si il y a trois aller quatre personne qui s’en inquiète : le professeur Daiba, son fils Tadashi daiba, le professeur Kusco et bien sur Albator, considéré comme un hors-la-loi. Cette sphère a été envoyé par les Sylvidres, peuple de femme plante extra terrestre à la beauté envoutante. C’est un peu un drapeau qu’on plante dans le sol d’un territoire qu’on a conquerrit. Vous l’aurez donc compris, ici on suit les aventures d’Albator qui doit protéger la terre des Sylvidres qui veulent l’envahir. Je le trouve plus complet et plus sombre que la version animé car on a un meilleur ressenti des sentiments de Tadashi sur les évènements qu’il vit mais on a aussi le point de vue des Sylvidres en début de tome, ce qui nous permet de voir, qu’elles sont présentes sur terre et qu’elles se fondent parmi la population sans éveiller les soupçons. Et pour le côté sombre, je pense que c’est grandement la cause des dessins, qui sont juste sublimes et qui apportent le coté sérieux que l’on avait pas forcément dans Albator 78. Petit point sur les dessins : Les dessins, comme je l’ai dit il y a instant apporte un coté sombre à la série qui est au combien appréciatif car ça nous immerge plus dans l’histoire, ça nous implique davantage. Les personnages font plus sérieux et sont de toute beauté, surtout les personnages féminins qui en ont profité pour prendre davantage de forme. Du coup ça colle plus avec l’image actuelle de la beauté fatale. En parlant de beauté, j’affectionne particulièrement les planches qui ont lieu dans l’espace, elles sont magiques encore plus magique que celle que l’on peut contempler dans le manga Zelphy de Etorouji Shiono. D’ailleurs pour en revenir aux personnages, dans l’ensemble ils sont très bien respecté aussi bien du coté graphique que du coté caractère. Par exemple, on retrouve le premier ministre avec sa tête d’ahuri de première comme dans l’animé avec en plus le côté pervers qui lui sied à merveille et qu’il n’y avait pas dans l’animé. Il faut dire qu'entre le ministre et Kirita on a deux représentant de la terre diamétralement opposés. D’ailleurs on aura remarqué la tendance de l’auteur à réaliser des personnages bien proportionné, cool au possible et qu’on a envie de suivre, comme Albator ou Kirita et qui ont toujours un rôle important dans l’histoire et de l’autre des personnages un brin déformé qui sont plus dans des rôles secondaires ou comique comme le ministre par exemple. Ca aide le lecteur à suivre plus facilement les évènements et à toutes suite se dire, tiens ce perso est important pour l’histoire alors que celui-ci a un rôle secondaire, mais attention ce n’est pas toujours le cas, comme le personnage qui a créer l’arcadia par exmple. Bref, vous l’aurez compris Albator est quelque chose de culte et cette version manga est un bonheur pour les yeux et permet aux jeunes lecteurs de découvrir Albator dans un de ces aventures les plus mémorables.

En bref

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