Ces trois OAV de 36 min chacun nous plongent au cœur d’une histoire de vengeance assez farfelu. En effet, le réalisateur change souvent ces plans en passant par exemple d’une scène tout à fait réaliste à une autre totalement hallucinante et imaginaire. Ceci s’opère sans forcément de liant entre celles-ci. C’est pourquoi dans ces moments là, il faut vraiment s’accrocher afin de saisir le déroulement de ce drame psychologique aux allures de film de sciences fictions par moments.
La réussite de ces OAV provient finalement essentiellement de son graphisme splendide avec des plans très détaillés et des traits très fins aussi bien dans le design des personnages que des objets environnant. De plus l’ambiance qui est à la fois sombre, malsaine, mystérieuse et fantastique, est parfaitement mise en valeur par la music de Yuki Kajira (Hack Sign) toujours aussi splendide, entraînante et distinctive.
La réussite de ces OAV provient finalement essentiellement de son graphisme splendide avec des plans très détaillés et des traits très fins aussi bien dans le design des personnages que des objets environnant. De plus l’ambiance qui est à la fois sombre, malsaine, mystérieuse et fantastique, est parfaitement mise en valeur par la music de Yuki Kajira (Hack Sign) toujours aussi splendide, entraînante et distinctive.
En bref
8
kenshin
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