Plus je continue l'histoire et moins elle m'accroche, c'est dommage. Si les intrigues ne sont pas clichées du shojo manga, elles sont étranges... L'histoire d'amour a beau être mignonne, cet amour va soit trop vite, soit trop lentement, mais le rythme me chiffonne. La transition entre la comédie d'Hadzuki et les véritables passages où la personnalité du Genji prend le dessus n'est pas claire. Mais une fois que le phénomène est bien mis en place, l'histoire se stabilise et retrouve un semblant d'intégrité. Bref, un tome qui m'a un peu laissée de marbre et dont le niveau est relevé par les graphismes et l'arrivée de la belle-mère qui semble avoir une idée derrière la tête...