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Critique de City Hall #1

par Fionasuna le sam. 17 mai 2014

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J’ai découvert ce manga en cherchant des chroniques, je suis tombée sur la bande-annonce de ce manga. Curieuse, j’ai cherché un peu plus de quoi il parlait et il s’avérait être quelque chose d’intéressant pour moi. De par son univers Steampunk, Londres et des personnages intéressants (Jules Verne ou encore Arthur Conan Doyle). Je n’ai pas hésité une seule seconde à ajouter le premier tome à ma Wish-List. Quelques petits mois plus tard (c’est-à-dire récemment), en farfouillant dans un centre culturel, je suis tombée sur l’édition collector de City Hall. Le coffret de la saison 1 qui regroupe les trois premiers tome avec jaquettes collector et une édition spéciale du Notebook. C’est une édition collector et limité. Comment vous dire que même en ayant pas lu une seule page de la saga, j’ai tout de suite craqué et me le suis acheté! Etant donné que j’adore l’univers Steampunk, je ne pouvais pas passer à côté de ceci. Un magnifique coffret qui plus est, avec de nombreuses illustrations en bonus. Bref, un petit (grand) craquage venant de ma part et je n’ai pas du tout était déçue. Londres 1902, le papier est normalement inexistant et pour cause, c’est une arme destructrice. Quiconque écrit sur un bout de papier prend vie. Deux cents ans auparavant, entre les mains de personnes mal intentionné, tout ceci a finis par une guerre et le papier est devenu interdit. Le stock mondiale a été détruit et à l’école, l’écriture a été bannie. Le monde est passé au numérique et tout ce passé bien jusqu’en Juin 1902, où un homme, nous ne savons pas grand-chose de lui, mais seulement qu’il s’appelle Lord Black Fowl et qu’il maîtrise très bien l’écriture et sait s’en servir pour commettre ses crimes. Mais que cherche-t-il ? Surtout, qui est-il vraiment ? Il se cache derrière son masque et sait se faire discret pour contrôler se pouvoir. Le maire de la ville, Malcolm Little fait donc appel à un écrivain très connus et de son assistant : Jules Verne et Arthur Conan Doyle. Il fait appel à eux pour contrer le criminel, qui d’autre pourrait faire face à un talentueux écrivains qu’un autre écrivain réputé dans ce domaine. Une arme redoutable entre les mains de deux personnes qui maîtrise l’écriture divinement. Une trame qui envois du lourd (enfin là c’est mon avis bien sûr), tout ce que je retiens de ce premier tome est qu’on nous fait découvrir l’univers de City Hall. Un premier tome coup de cœur ! L’univers Steampunk est assez présent tout au long du tome. Du Steampunk assez futuriste quand même, rien que parler des documents numériques prouve qu’il y a un peu de futuriste. J’aime beaucoup le concept d’écrire quelque chose et que cela prenne vie. On est directement dans l’action, un meurtre des plus étranges et tout s’enchaîne. Même si juste après, il y a une sorte de passage qui pourrait être long pour certaines personnes, pour moi, c’est là qu’on découvre les personnages principaux et qu’on découvre l’utilité de cette "mission". En parlant de personnage, je trouve Jules Verne vraiment intéressant et assez drôle. Il ne faut pas le comparer avec le vrai Jules Verne, mais le voir comme un personnage de fiction (ce qu’il est), tout comme Arthur C.D. J’ai beaucoup aimé ce duo d’écrivains. Mais aussi le personnage qui viendra se joindre à eux par la suite : Amelia Earhart. Vous la connaissez sans doute tous (ou pas) (C’est la Première femme à traverser l’océan Atlantique en 1928, mais pas que. Pour avoir plus de détails sur ce petit bout de femme, je vous invite à faire quelques recherches sur internet). Bref, Amelia a un tempérament de feu que j’aime beaucoup voir dans les personnages féminins. Le dernier personnage que j’ai beaucoup aimé dans ce premier tome, malgré le mystère qui l’entoure est non des moindres Lord Black Fowl. Le mystère qui plane autour de lui me donne envie d’aller plus loin, me donne envie de continuer à lire la suite et à découvrir le visage qui se cache derrière ce masque. Les dessins sont remarquables. Guillaume Lapeyre a réussi à me faire transporter dans l’univers de City Hall, mais n’oublions pas Rémi Guérin, qui a, lui aussi, réussi à me plonger de cette histoire. Je finis cette chronique en rappelant que c’est un énorme coup de cœur ! Le tome 2 et 3 sont déjà dans ma PAL, puisqu’ils faisaient partis du coffret collector. J’ai hâte de pouvoir me replonger dans l’univers de City Hall et suivre nos deux écrivains dans leur aventure qui risque de nous apporter des surprises.

En bref

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