Un nouveau tome de l’Académie Alice, c’est, pour moi, toujours un événement. Depuis ses débuts cette série ne m’a jamais déçue, que ce soit au niveau du scénario ou du graphisme. L’auteur nous faisant passer du rire au larmes, de la joie à la tristesse en un clin d’œil et avec un talent fou. Ce tome comme ses 10 prédécesseurs (et oui déjà!) ne déroge pas à la règle. Premier bon point, comme pour chaque tome, la couverture. Elle est toujours aussi belle, nous présentant les personnages de la série avec élégance. Pour ce onzième volume c’est un de mes chouchou qui est à l’honneur, un perso que l’on ne voit pas aussi souvent que l’on voudrait: le petit yoyo. Il annonce doucement la couleur: ce tome sera aux couleurs des garçons.
En effet, le lecteur aura plaisir à découvrir un peu plus le passé de certains protagonistes et de trouver réponse à des questions restées en suspens depuis le premier volume, en laissant les questions sur celui de Mikan un peu de coté. Vous avez toujours voulu savoir comment étaient Luca-Piou et Natsume avant l’académie? Vous allez être servis! Tachibana Higuchi nous offre un tome assez sombre, triste mais qui contient néanmoins la touche d’espoir et de rigolade qu’il faut pour ne pas tomber dans la déprime.
Personnellement, j’ai préféré les deux « méchants » un peu boulets amoureux d’Hotaru et de Tsubasa-Sempai au passé des protagonistes, même si j’ai toujours voulu savoir d’où venait la malédiction de Tsubasa. J’espère qu’on les reverra souvent et pas seulement le temps d’un ou deux tomes parce qu’ils ont un potentiel immense.
En ce qui concerne le travail de Glénat, encore une fois il est bon, même si l’impression du noir et blanc est un peu trop sombre pour bien mettre en valeur les dessins. Et pour conclure, je dirais, comme pour chaque tome: Vivement la suite!
En bref
8
Miawka
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