17ème volume de Gintama, où nos héros vont être impliqués dans une révolte de robots sous fond d’assassinat d’un professeur et où ils vont devoir lutter pour s’emparer d’un exemplaire de la toute nouvelle console de jeux-vidéo Bentendo Owee… La première histoire, qui prend les trois-quarts du tome (7 chapitres sur 9), nous raconte l’histoire d’Hibiscus-0, un robot femme de ménage accusé du meurtre de son maitre. Ce dernier avait en fait voulu recréer sa fille décédée en en faisant un robot ayant sa « semence ». Après un début humoristique réussi, la suite est un peu trop sérieuse par moment et pas forcément très passionnante… La fin est un peu meilleure mais ce qui fait la force du titre est cet humour débile et totalement déjanté, un peu trop absent ici. La seconde histoire qui débute en fin de volume reprend ce côté loufoque assumé et fait de nouveau passer un excellent moment avec des défis plus débiles les uns que les autres et quelques dialogues hilarants. Et on se délecte également des inter-chapitres où Hiroaki Samura délire totalement, que ce soit dans les réponses aux questions des lecteurs ou lorsqu’il raconte sa vie et celle de ses proches. Un auteur dérangé pour un manga complètement fou… Avec une longue histoire assez irrégulière qualitativement parlant, ce 17ème volume est moins bon que les précédents. Le début de la seconde histoire est nettement plus réussie et permet de finir ce tome sur une bonne note. Un bon tome dans l’ensemble.