Le groupe Angelilly doit passer une audition pour un festival, mais trois autres groupes sont en concurrence. Pour accrocher le jury, il faut absolument composer une nouvelle chanson sur le thème de l'amour. Seul problème, Uta qui ne connaît rien à l'amour est victime du syndrome de la page blanche... Du moe, des seins, des quiproquos à la Love Hina voilà ce qui compose ce volume deux de Play. S'il existe bien un scénario, on se retrouve trop rapidement perdu dans cet amoncellement de gags pas drôles aux raccords improbables. On passe ainsi d'un lieu à un autre en plein dialogue ou en pleine action sans aucune explication. Le graphisme à la fois simpliste et surchargé n'accroche pas et les scènes de fan serv agacent. Autant REC était une bonne série, autant Play possède trop de défauts pour que l'on apprécie la série. Quant à l'histoire, on en devine déjà la fin, si bien que l'on se demande vraiment l'utilité de lire la suite.