Kurokawa a vraiment eu un bon flair avec Nozokiana qui continue de surprendre et d’une agréable manière ! Tatsuhiko devient un aimant à femmes dans ce second volume. Que ce soit Yuri la petite amie, Emiru la tordue, la collègue de travail (dont j’ai déjà oublié le nom) ou même Shoko la professeure, toutes y passent mais les situations sont variées et aucune ne donne l’impression de relire la même chose. Les scènes de sexe, plus présentes et suggestives, sont une nouvelle fois très plaisantes et hilarantes. Les différentes histoires sont tellement improbables que cela en devient un gag très efficace. Il faut dire que l’auteur réussit parfaitement à coucher sur papier certains clichés du fantasme. Un seul passage dans le lot est moyen, celui faisant revenir Horii. La situation est idéale pour faire monter la tension et provoquer un rapprochement entre les deux voisins et mais les explications et la réalisation ne sont pas très convaincantes. C’est déjà fini. On recommence ?