Ce dix-huitième tome de « Jusqu’à ce que la mort nous sépare » reprend la recette habituelle des derniers tomes : de nombreux combats avec des adversaires assistés technologies surprenantes. Se replonger dans le bain plus de six mois après la sortir du tome précédent n’est pas chose évidente vu que l’on se trouve dans un arc de la série où les combattants sont nombreux et les intrigues s’enchainent et rebondissent au rythme des sabres qui fendent l’air… Sans oublier que nous sommes toujours dans le « projet crossover » entre différentes séries exclusives en France et ainsi les personnages de Jésus et Aegis, deux autres combattants aguerris sont mêlés à l’histoire. Les dessins sont toujours bien maîtrisés, et les combats avec leurs technologies assorties rendent bien, le scénario quant à lui, devient complexe, ce qui alourdit l’histoire malheureusement. On a envie d’y voir un peu plus clair dans les intentions de chacun et dans leurs motivations. La multiplication des personnages et des combats, la surenchère technologique, alourdissent la lecture et ralentissent le scénario pour ne présenter dans ce tome que quelques combats. La série obtient avec ce procédé qu’un manque de fond. La forme étant bien maîtrisée.