L’affrontement contre le clan Kabuto touche à sa fin. Mais Mikoto décide de terminer le boulot toute seule afin de venger son frère ainé. Sera-t-elle assez forte pour affronter toute seule ces tueurs sans pitié… Si dans le tome précédent, on avait eu le droit à des flashbacks sur le passé de la belle Mikoto, il n’en est rien ici. En effet, on repart à fond la caisse dans un déluge de combats avec des guns fights, des otages, des coups de sabres à tout va, sans oublier des cascades à moto qui ferait passer le Ghost Rider pour un vulgaire clown. Sans oublier, une bonne dose de « nichonade » au cas où on aurait peur de s’ennuyer. Je suis pourtant assez clément de ce côté-là d’habitude, mais là je trouve vraiment que c’est un peu trop, il y en a tellement qu’à la fin de la lecture je n’ai retenu que ça. C’est dommage et je trouve que ça dessert l’intrigue principale. Finalement après avoir dit ça, on a malheureusement tout dit et c’est aussi le deuxième point négatif de cette œuvre qui semble avancer très lentement. On notera tout de même le petit clin d’œil à l’inspecteur Harry en fin de volume (traduit en anglais, mais bon on commence à avoir l’habitude…) ainsi qu’un recueil des armes utilisées par les membres de blacklabel. De quoi prolonger un peu plus le fan service car de toutes les manières si on aime cette œuvre c’est qu’on aime le fan service…