Des tensions commencent à apparaitre dans le jeune groupe Charlie. Gaku, le fondateur, semble prêt à tout pour obtenir l’avantage de participer à un festival punk. Mais le reste du groupe ne semble pas être de cet avis. La pseudo-manageuse auto-proclamée ne fait rien pour arranger les choses. Gaku se tourne alors vers un nouvel ami, un certain Yotsuya !
De nouvelles péripéties d’un nouveau genre viennent agrémenter ce neuvième volume de « Woodstock ». C’est une phase de doute qui vient alimenter l’histoire. Quelques distensions dans le groupe et un nouvel ami bien étrange suffissent pour déséquilibrer les relations de Charlie. Après des volumes mettant en avant les milieux de la drogue et des gangs, ce volume se dirige plus vers de simples tensions de jalousies.
Mais, au vu du scénario et de son développement depuis quelques tomes, on est dans un cycle classique : nouvelle problématique et résolution par la musique. Le dixième volume confirmera ou non cette hypothèse, mais cela semble être e schéma répétitif de fonctionnement. Moins de concerts à l’affiche entrainent moins de difficultés graphiques sur les proportions des scènes en contre-plongées, mais le style reste toujours et encore imprécis et manquant de finesse.
En bref
5
Lelouch
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