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Critique de Dans mes veines #1

par Lauriane le lun. 14 févr. 2011 Staff

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Barbara, « Barbie » pour ses ex collègues flics, se réveille avec une vilaine gueule de bois dans son appartement parisien en ce 16 juin. 9h14 : Barbie regarde par la fenêtre, mug de café à la main. 9h15 : Le mug explose littéralement en touchant le sol de la cuisine, lâché à la découverte du corps meurtri de Jill, ex-petite amie, mannequin célébrissime. Mais que s’est-il passé ? Barbara est victime d’un terrible blackout. 9h16 : Appel téléphonique…Faux prétexte pour s’assurer de la présence de Barbie dans l’appartement. Guet-apens ? Fuite. Barbara, fugitive, doit fouiller dans son passé (donc flashback…), devancer ses ex-collègues pour mettre la main sur des indices pouvant la blanchir, sur un rythme haletant, soutenu. Cette course poursuite doit son rythme à sa narration toute particulière, à la manière d’un journal de bord, d’un rapport minuté. Le scénario de Damien Marie est mis en valeur par des vignettes empruntant les angles de vue utilisés au cinéma dans telle histoire. Sébastien Goethals est un bon metteur en scène ! Et l’éditeur ne s’y est pas trompé : « Dans mes veines », c’est bien « la BD comme au cinéma »…

En bref

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