Ce tome semble clore la série en une fin sombre comme l’univers dans lequel évoluent nos montes en l’air
Mélange de technologies et trouvailles essentiellement mécaniques à la Hauteville House, dans un univers arts déco des années 1900 revisitées, et ayant pour cadre la ville de Bordeaux, nous avons suivi les membres du réseau Bombyce (papillon du vers à soie) jusqu’à la fin, la délivrance en quelque sorte, par la découverte de la vérité, des vérités plutôt de chacun des protagonistes.
Cecil, seulement dessinateur du premier tome, coscénariste avec Corbeyran sur le second, reprend l’ensemble scénario et dessin pour le troisième paru 11 ans après le premier !
Tout y est : des personnages attachants, d’autres haïssables, de très beaux décors très bien rendus, des mécanismes d’horlogerie et des gadgets en tout genre, des dessins sombres et précis, qui sur le lecteur lui même laissent leurs « stigmates ».
Un troisième tome fort et cruel pour une série qui l’est de même.
En bref
8
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