Jean-Claude TERGAL, a l’image du looser débonnaire. Il sait vous amener par mille fils ténus à associer Maginot, l’inventeur de la ligne du même nom, à son aversion pour tous les bruits de mastication.
Depuis longtemps célibataire, il trouve donc une femme dans ce tome, ou presque,… enfin pas au sens où on l’entend.
Une imagination débordante, un fond de sensibilité frisant la sensiblerie, un faux air du gars revenu de tout, font de cet antihéros un homme attachant.
On sourit plus qu’on ne rit, mais avec plaisir, à cette histoire décalée douce amère.
En bref
6
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