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Critique de La poussière des anges #2

par vedge le lun. 9 avril 2012 Staff

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Nous sommes à la fin de la guerre du Vietnam, les GI ont besoin d’héroïnes pour oublier l’enfer. Las Vegas n’est qu’un désert et pas une lessiveuse pour le blanchiment de l’argent de la mafia. Du côté de l’histoire plus personnelle du personnage principal, sa belle se réveille au bout de 8 ans de coma, et l’envie de fuir l’univers qu’il a créé le prend, mais le peut-il encore ? Histoires de pouvoir, que des femmes et des hommes ne souhaitent pas partager, histoires d’attirance et de drogue, d’addictions. Un monde violent et sombre, comme les dessins, précis, des visages torturés par la haine ou le dégoût. Plus de lumière crue et de chaleur dès les premières pages passées. On bascule dans le monde de la pègre où chaque vie n’a que peu d’importance et où la notion d’honneur n’est finalement qu’une notion d’ego surdimensionné. Rien d’honorable dans tout cela. On suit donc, happé, cette lente dégringolade, en sachant pertinemment qu’une happy end est impossible mais en l’espérant tout de même, pour laisser une part de rêve à Hollywood, à l’Amérique, à la vie.

En bref

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