Un skipper alcoolique et mélancolique croise une femme blonde et inquiète de la disparition de son mari journaliste.
Pour ne pas devenir un « Lotophage » il décide de partir avec elle à la recherche de cet époux disparu dans « une des régions les plus dangereuses du monde ».
Côté dessin, on est sur une ligne claire mais plus sur des aplats de couleur que sur du dessin très précis.
La représentation du souk p28 en est un exemple, ou le chatoiement des couleurs, le fouillis des objets à l’étal est représenté par des tâches de couleurs et des formes plus que des objets très détaillés.
Il reste quelques imperfections à gommer je pense, chevelure de l’héroïne ou visages, par exemple au bas de la page 52, pour que ce mode de traitement prenne tout son sens.
L’histoire est au bout du compte classique, sur un scénario bien construit et bien mené.
A voir si la suite corrige les imperfections de ce premier opus.
En bref
5
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