Cette série est partie doucement par l’introduction du service d’espionnage du Vatican et s’accélère au fil des tomes en augmentant le mystère sur la multiple-gémellité du Janitor et l’histoire peu reluisante des accointances et de l’aide coupable de l’église catholique romaine aux nazis à la fin de la guerre.
Le scénario de ce tome 4, vif, multiplie à la fois les scènes d’action et les retours arrière sur l’enfance du Janitor, en illustrant ces flashbacks dans des couleurs sépia du plus bel effet.
Le dessin de Boucq surprend parfois pour ce type de récit que l’on est habitué à voir illustré de manière plus classique ligne claire, mais il reprend tout son sens dans les scènes décalées de type fantastique où le personnage irréel de la petite fille apparait à divers personnages.
Une évolution dans le bon sens pour la série avec encore pas mal de mystères à découvrir dans la suite.
En bref
7
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