On navigue dans cette série entre rêves et réalité au travers des fantasmes d’un jeune adolescent prodige en quête d’amour.
Le tome 2 insiste moins sur la créativité du jeune homme et sa propension à réaliser des machines délirantes, que sur le côté onirique et sa compréhension par l’héroïne.
Le dessin est toujours charmant, mêlant les contes et autres histoires lues par le jeune homme qui nourrissent son imagination et qu’il revisite avec un partie pris d’érotisme juvénile quasiment tout public.
C’est plus la recherche de l’esthétisme que du sensationnel qui guide le dessin et c’est une réussite.
On est au pays de Lewis Carroll habité, en plus de ses créatures étranges, d’amazones aux justaucorps et tenues suggestives.
Les dessins utilisent des aplats de couleur pour définir les univers, et les personnages sont traités avec finesse et sensibilité.
Au final, le premier dénouement est plutôt conventionnel et bon enfant, et le rebondissement final très intriguant.
En bref
7
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