El Spectro, c’est comme si l’on mélangeait plusieurs héros classiques, Ric Hochet, pour la course automobile dans ce tome 2, Michel Vaillant et qu’on les envoyé chez le Picaros de Tintin.
Loin de la BD avant-gardiste, on se trouve donc dans un ouvrage très traditionnel tant au niveau du scénario que du dessin, tous les deux replongeant dans les classiques des années 60.
Tout est calibré et à sa place : les méchants très méchants, les héros très héroïques, sans peur, sans reproche, avec un sens de la justice, des droits des jeunes femmes et des opprimés et une sensibilité au développement durable dignes d’éloges.
On s’amuse bien dans cette histoire même si elle accumule les poncifs et si la mise en page ne quitte la classique « gaufre » que pour quelques rares incartades, par ailleurs bien trouvées.
Un bon moment de nostalgie assumée qui me fait conseiller cette BD aux amateurs du genre.
En bref
6
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)