Ce tome clôt le triptyque du cycle dit de l’héritière, qui voie le dénouement du complot, même si on ne fait qu’entrevoir les conspirateurs.
Très vif, enlevé, réservant son lot de surprises, sur une construction claire du scénario, ce dernier opus est mené tambour battant pour finir sur un peu de douceur et de fleur bleue, dans ce monde de brutes.
Le dessin et la mise en page sont classiques et de bonne qualité.
Il y a quelque chose de Wayne Shelton dans ce Gil Saint André, et c’est un plaisir de suivre ces aventures bien construites, bien dessinées, sans prise de tête inutile mais avec une peinture de la situation politique et culturelle sous tendant le récit bien vu, entre la France et ses turbulentes ex colonies africaines.
En bref
6
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