On poursuit l’histoire d’une jeune fille arrivé contre son gré dans une maison close.
La filiation de Chimère se découvre dans ce tome, de même qu’une part de l’histoire de la tenancière.
Les dessins, originaux, rendent à merveille l’atmosphère du Paris du 19ième siècle et propose des personnages en accentuant parfois leur animalité, de la ruse à la violence.
Les halles et leur déballage de produits et de couleurs sont particulièrement bien rendus, on croit entendre le brouhaha, les cris des marchands.
L’histoire se précise, autant chronique politique et historique de l’époque que narration familiale.
La jeune ingénue devient Messaline et tisse sa toile pour se construire un futur plus plaisant en réglant ses comptes.
Un bon tome d’une bonne série donc.
En bref
6
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