Je ne suis pas totalement d'accord avec les allusions aux Monty Python ou à Tex Avery. En comparaison de ces monstres de l'absurde, j'ai trouvé l'histoire un peu trop sage côté scénario. Heureusement, il y a les dessins de Martin Trystram qui nous entraînent dans un décalage quasi permanent avec des couleurs douces (merci Ruby), des cases irrégulières et des clins d'oeil (et hommages) successifs à diverses oeuvres de l'imaginaire. Pour ma part, c'est plus du côté de "Qui veut la peau de Roger Rabbit?" que je vois une inspiration... Il y a pire référence! Voici un premier tome sympathique entre poésie et folie douce, attendons la suite!