Genre : reportage de guerre et conséquences
Quinze ans après la guerre du Kosovo, Ganu Japuki, le scénariste, arrive enfin à raconter l’histoire de ce pays, les massacres, les populations expulsées ; L’histoire d’un pays exsangue d’avoir trop souffert et pleurer.
Le dessin de Gonzales étonne. Par ses couleurs d’abord, tantôt noirs ou marrons angoissants où se dissolvent quelques rares silhouettes ou ombres projetées, tantôt paysages bucoliques verdoyants dont on présage qu’ils sont tombeaux.
Le dessin transforme le reportage photographique en œuvre d’art qui t ouche au cœur, en écarquillant les yeux ; une sorte de Guernica distillé au fil des cases pour projeter l’horreur de la guerre entre voisins et frères, dans une gerbe de flammes et de feu ;
En bref
7
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)