Le narrateur, prêtre survivant de l’épidémie de peste qui a ravagé l’Europe au 1-ième siècle, hésite entre croire et maudire, entre bonheur de vivre et malheur de sa condition de mort-vivant.
A l’autre bout du monde, un roi Inka, au crépuscule de sa vie, ne voit lui, dans cette immortalité, que la possibilité de règne éternel.
Le décalage est constant dans le récit, dans le propos, les personnages, les mœurs, et la référence à Dieu.
L’histoire est intéressante, le dessin et les couleurs parfois déstabilisants.
Le tout est original dans le ton et les fondements du propos.
En bref
6
Qu'avez-vous pensé de cette critique ? 0 0
Laissez un commentaire
Commentaires (0)