Ce deuxième tome s’écarte un peu du gouffre lui-même, de sa découverte et de son exploitation pour s’intéresser à William Beamish, le fils de l’associé ayant amené les capitaux au découvreur.
On a un aperçu de sa vie de casse coup et de la vie dans les tranchées de la guerre 14-18 mais sans rien apporté de neuf.
On voit aussi le caractère visionnaire d’Edouard-Alfred Martel, avec de nouvelles propositions d’aménagement du gouffre et ses efforts de publicité et de mise en place d’infrastructure (pompe à essence par exemple) pour attirer toujours plus de monde et de Paris en particulier.
Le dessin est plaisant et de bonne qualité.
Un seul risque, d’étirer en longueur un récit, certes plaisant, mais qui ne nécessite pas je pense une série sur la durée.
En bref
6
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