Le récit a le rythme lent, le verbe et le jeu de mot facile des romans de Léo Malet.
On visite le paris d’antan où il est simple de garer partout, où les rues peuvent être vides et où certains arrondissement ont un petit air de village de province ; réel pas fabriqué pour le gogo touriste.
Je suis un peu moins convaincu par le dessin.
Si les décors sont corrects, le visage de Nestor Burma, par exemple, prend parfois de profil des allures d’Oliver Hardy comme en page 40 et l’ensemble ne présente pas ce « flou » dans le trait qui correspondait mieux à l’âme espiègle du détective irrévérencieux.
En bref un bon découpage et un bon déroulé et des illustrations à parfaire.
En bref
5
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