En bref : fin de cycle avec un dénouement sans compromis qui laisse tout de même sur sa faim
Ce tome 12 marque la fin du cycle de que l’on peut appeler les 12 tomes d’Hercule du scénariste Bec.
Seul un scénariste de sa trempe peut porter un tel projet.
Il nous interroge sur notre gestion du monde, sur sa création déiste, son évolution darwinienne ou son exo-genèse.
Le dessin explose dans la description du conflit inégal qui pourrait voir l’extinction de la race humaine.
Machine, exosquelette, villes en feu, désespoir des visages qui se cache dans un dernier éclat de rire de défi, les illustrations hyperréalistes nous plongent dans un futur proche qui devient envisageable.
La fin, forcément, bien que plus pragmatique qu’un happy end hollywoodien, a un je ne sais quoi d’inabouti.
Gageons que le 13ième tome clôturant réellement le cycle début 2016 apportera une conclusion, si ce n’est optimiste, du moins avec un sentiment d’achèvement.
En bref
6
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