Ce second tome clos le diptyque dans lequel les auteurs, sur une idée de Christophe BEC, revisitent ses marottes, de la toute-puissance du mal et de la faiblesse humaine lui faisant face.
Très sanglant, gore même, ce diptyque n’est pas à mettre en toutes les mains.
Il réinterroge en effet la soif de puissance et de pouvoir qui, dans toute l’histoire humaine, politique ou religieuse, a conduit les hommes à s’entretuer de la pire façon.
Les dessins sont superbes, pleins de puissance maléfique dans les lieux et les êtres, avec un rendu très réaliste pour une histoire aussi ésotérique.
Un diptyque pour amateurs du genre qui n’ont pas froid aux yeux, et qui donc ne les décevra pas.
En bref
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