Ce que j’apprécie au premier abord dans les Léo Loden, c’est l’ambiance.
Dès la première page tournée on y est. Si le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle chez vous, que vous soyez à Paris ou ailleurs, Léo Loden, se sont les cigales, la chaleur, l’accent chantant et là, le meilleur du meilleur, l’arrière-pays du Lubéron.
Un pays vallonné, animé de cigales, ou le soleil, toujours, embrase le décor ; où les senteurs de lavande remontent à la mémoire, comme autant d’instants brefs, qui ont goût au bonheur.
Bon ceci dit, le tome 24 il vaut quoi ?
Mené au train d’enfer d’une traction avant en plein régime, cette histoire nous entraine sur un rallye mélangeant voitures anciennes et énigmes.
Un meurtre vient en perturber le déroulement.
Mais même enceinte, un flic est un flic et après une enquête rondement menée, l’accouchement libère la farouche maman de deux charmants bambin et ne semble pas rassurer le pourtant intrépide papa.
Traité sur un mode humoristique, le dessin rythmé participe à la réussite de ce tome 24, vivement la suite.
En bref
6
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