Le nom même de Cagliostro sent le soufre.
Mage, franc-maçon, chantre de l’ésotérisme égyptien, alchimiste, imposteur, arnaqueur, tous les qualificatifs ont du être utilisés.
Cette série ne peut que renforcer le doute et le mystère qui entoure ce personnage équivoque.
Le scénario est bien conçu, entre récit policier, récit de cour et récit ésotérique.
C’est le personnage dans son époque et les intrigues de cour qui nous sont décrites.
Le dessin s’améliore par rapport au T1 mais porte encore trace de quelques imperfections.
Reste des récits intéressants, dans les deux tomes, sur un personnage qui a su garder, jusqu’à aujourd’hui, son aura sulfureuse.
En bref
6
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