La série Roma a survécu au décès de son instigateur, Gilles chaillet.
Elle poursuit sa réinterprétation de l’histoire antique, au travers de l’influence supposée d’une déesse violentée et enfermée dans un cercueil d’orichalque pour ne plus s’en échapper.
Dans ce tome, on suit la folie destructrice de Caligula, démiurge fou, usant tour à tour de la violence et de la prodigalité pour se maintenir au pouvoir.
L’histoire est de qualité, s’étirant un peu par moment, mais permettant de revisiter l’histoire de Rome.
Le cahier de fin, qui replace le roman dans sa réalité historique, est un complément fort utile.
Le dessin est parfaitement maîtrisé, tout en classicisme épuré.
Un série intéressante donc, qu’il faudrait veiller à ne pas trop édulcorer ou allonger inutilement.
En bref
6
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