Une entrée en matière un peu chaotique pour cette série qui suit l’arrivée au pouvoir d’Édouard VIII, plus intéressé par ses amours SM avec une roturière américaine mariée, que par la conduite du pays.
De plus, il ne cache pas sa sympathie pour les nazis, seul rempart sûr, selon lui, contre la menace communiste.
Un dossier à charge contre cet homme, présenté comme futile e une dynastie qui s’est rebaptisé durant la guerre en « Windsor » pour cacher les collaborations familiales avec les nazis.
Le scénario, touffu court plusieurs lièvres à la fois : espionnage, Messaline Mata Hari, évocation du pouvoir ; On finit par s’y perdre.
De la même façon, les styles, les mises en scène et les points de vue varient avec différents niveaux de réussite.
Souvent superbes, on note parfois des incongruités comme ce contour marron clair autour de visages qui semblent découpés par un enfant et recollés.
A infirmer ou confirmer par la suite.
En bref
5
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