En 3 tomes de, nous l’espérons, ce premier cycle, Tebori nous aura permis de nous initier à l’art japonais du tatouage et à la culture japonaise à laquelle les Yakuza semblent intimement liés.
Récit mi policier, mi fantastique, il présente une culture dont les légendes, les coutumes et les codes anciens sont toujours présents et usités.
Le dessin, superbe, et à l’aise dans les scènes d’action, me semble avoir usé d’un peu trop d’emphase et d’exagération dans les pages 22 et 23, dans le dialogue hypothétique et vaguement philosophique entre le maître tatoueur et la figure ancestrale du corbeau annonciateur des révoltes de mères nature.
Un très beau récit, puissant et fort, qui a su nous convaincre de toutes les richesses culturelles et légendaires du Japon.
En espérant que ce troisième tome marque seulement la fin d’un cycle et le début d’autre chose.
En bref
7
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