Chronique haute et sans couleur, Hate conte la geste et les faits d’arme en noir et gris de guerriers, choisis par le sort ou le fer.
Monstres de muscles et de fer, ils luttent pour le pouvoir dans un monde aux relents maléfiques.
Un gnome élu, par le pouvoir d’on ne sait quel dieu ou déesse, pourrait les vaincre et les punir tous.
Hate mérite toute votre attention par son dessin à la Druillet sans les couleurs.
Ce dessin est profond, violent.
Il ne cherche pas à plaire, plutôt à faire réagir, à effrayer ou choquer parfois
Il est grand, dense, il saisit aux tripes et vous entraine dans son monde méphistophélique.
Il faut lire Hate et se laisser attirer, absorber par ce dessin superbe.
En bref
8
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